résultats du sondage

Quelles habitudes du quotidien seriez-vous prêt.e à changer aujourd’hui ?

Réduire votre consommation d’électricité / eau / chauffage (à savoir prendre des douches plus courtes, éviter de consommer des fruits et légumes qui utilisent trop d’eau, mettre un pull ou une couette quand on a froid, etc.) : 27 réponses (54%) 

Réduire vos déplacements en voiture : 30 réponses (60%) 

Ne pas voyager en avion quand c’est possible : 36 réponses (72%) 

Privilégier l’achat d’objets de seconde main / reconditionnés : 37 réponses (74%) 

Privilégier l’achat d’objets réutilisables : 40 réponses (80%) 

Cuisiner plus souvent maison avec des produits locaux et de saison : 41 réponses (82%) 

Éviter l’achat d’emballages (plastique, carton …) : 37 réponses (74%) 

Trier vos déchets : 41 réponses (82%) 

Aucune : 1 réponse (2%) 

Autres :   Acheter local 

Privilégier ma santé mentale 

Tout 

Alternative alimentaire, ex manger moins voire plus de viande 

Le covid a changé beaucoup de choses dans mon quotidien, mais pas mon rapport à l’environnement - j’y étais déjà très attentive et je ne pense pas l’être davantage aujourd’hui 

Faire le plus de déplacements possible à pied ou à vélo, éviter d’acheter des sandwichs ou d’aller à la cantine, mais faire une gamelle à la maison

Quels changements plus radicaux seriez-vous prêt.e à opérer ?

 Choisir uniquement des destinations accessibles en train/car : 10 réponses (20%) 

Arrêter complètement l’achat en ligne / livraison : 15 réponses (30%) 

Réduire au strict nécessaire vos consommations en tout genre : 20 réponses (40%) 

Réduire au strict minimum vos déchets : 30 réponses (60%) 

Aucun : 8 réponses (16%) 

Autres :   Tout 

Avoir un meilleur équilibre vie privée - vie professionnelle 

Chauffer au bois (renouvelable), vendre ma voiture, développer mon potager en permaculture

Quels sont les obstacles qui vous empêchent de changer vos habitudes tout de suite ?

39 réponses

  1. Aucun
  2. Manque de temps, de moyens et d’envie
  3. Ne pas être encore complètement indépendante de mes parents, entre leurs habitudes et les miennes, le fait que je n'ai pas de logement que je paye moi-même et que je ne sache pas encore ce que je vais faire dans ma vie.
  4. Aucun 
  5. L’argent 
  6. Vivre en ville 
  7. Le quotidien justement : le travail, les factures à payer, le peu de temps pour faire des pauses et réfléchir à des alternatives
  8. Le temps 
  9. Majoritairement financier/organisationnel
  10. Rien. 
  11. Les prix 
  12. Vie étudiante 
  13. Par exemple, je souhaite ne plus utiliser l'avion mais parfois c'est compliqué (voyage scolaire en avion de ma fille, invitation de mon frère à l'étranger...
  14. L’habitude 
  15. Les habitudes et surtout le confort, qui, paradoxalement au vu du contexte actuel, est largement encouragé par de très nombreux nouveaux services (notamment de livraison : courses, repas etc), au lieu d'être incité à se réduire 
  16. J'ai les meilleures intentions du monde pour réduire mon empreinte carbone mais je me heurte à l'inertie des uns, aux exceptions des autres, et je flanche trop souvent (avion, viande etc.): il me semble que nous gérons encore trop cette question au niveau de notre conscience individuelle et que celle-ci peut faire l'objet de petits calculs irrationnels, de transactions affectives - j'ai droit à ceci parce que j'ai renoncé à autre chose, j'ai droit à cela parce que je me suis bien comporté par ailleurs - , bref, nos efforts pour réduire notre empreinte carbone me semble faire l'objet de considérations très affectives et subjectives.
  17. Changement climatique 
  18. Les efforts liés à la réorganisation que cela nécessite.
  19. L'absence de concertation et l'absence d'alternatives équivalentes.
  20. Je les change petit à petit ! je pense qu'il faut sortir progressivement de notre confort pour mieux s'adapter sur long terme
  21. Certainement une forme de paresse … 
  22. Le principal obstacle est le manque de temps, si je voulais avoir un comportement plus responsable il me faudrait plus de temps, il faudrait donc que je change de métier ou que je travaille à temps partiel
  23. L'offre n'est pas encore adaptée à cela, cela signifierait me priver de beaucoup de choses, je ne suis pas encore prête pour ça.
  24. Raisons financières (produits bio ou sans emballage sont souvent plus chers), raisons de commodité
  25. Un manque de temps essentiellement, même si j'ai conscience que c'est souvent une fausse excuse; Il y a certainement une grande partie de "Bequemlichkeit" aussi
  26. Je n'habite pas toujours au même endroit
  27. Manque d'offres de la part des entreprises, manque d’argent.
  28. Essentiellement des contraintes financières
  29. C'est souvent moins pratique
  30. Le rythme citadin
  31. Les habitudes et le monde dans lequel on vit
  32. Temps et argent 
  33. Argent 
  34. Les coûtes d'acheter par ex. sans emballages
  35. L’argent 
  36. Pour plusieurs choses (produits locaux, boycott des ventes en ligne) c'est l'aspect financier qui m'en empêche.
  37. Il y a un biais dans vos questions: je suis déjà sans voiture, je recycle,  j'achète seconde main, etc. du coup mes habitudes ont déjà été changées. si le covid a apporté quelque chose, c'est l'achat massif en ligne.
  38. Argent, confort/être habitué à un certain mode de vie
  39. Le confort 

Qui doit agir, selon vous, en complément des actions de chacun ?

Les entreprises : 43 réponses (86%) 

L’Etat : 48 réponses (96%) 

Les Organismes (ONG, Associations) : 24 réponses (48%) 

Autres :   Tout le monde 

La « société civile » concertée, notamment par les organisations doivent forcer les entreprises à changer et l’état à légiférer pour obliger les entreprises à changer 

Les universités et les écoles 

Comment seriez-vous prêt.e à vous engager dans des actions collectives ?

Soutenir financièrement une ONG : 12 réponses (24%) 

Adhérer à une association : 25 réponses (50%) 

Participer à des actions plus concrètes (ramassage de mégots, de déchets…) : 38 réponses (76%) 

Signer une pétition : 32 réponses (64%) 

Militer : 12 réponses (24%) 

Vous ne souhaitez pas vous engager dans des actions collectives : 6 réponses (12%) 

Autres :   Je fais déjà tout cela mais je suis prête à continuer 

Il faut réellement agir. Tout ce cirque ne sert à rien 

J'estime mon engagement individuel déjà très développé, mais l'inaction des Etats et des entreprises face à l'urgence climatique me dissuade de m'engager dans des actions collectives. Les citoyens (et surtout les femmes) portent déjà suffisamment de responsabilité et de sentiment de culpabilité sur les épaules et font, pour certains, beaucoup d'efforts dans leur quotidien ; efforts qui, cependant, sont totalement vains tant que les vrais responsables (entreprises et États) ne s'engagent pas eux aussi 

Participer à des concertations collectives qui décideraient de quoi faire, collectivement 

Je n’ai pas le temps de militer 

J’aimerais beaucoup m’engager plus pour la cause, mais mon “champ de bataille” est ailleurs et je manque cruellement de temps !

Qui influence vos changements d'habitudes / vos engagements ?

L'éducation de vos parents : 19 réponses (38%) 

Vos proches du même âge : 29 réponses (58%) 

Les réseaux sociaux / les médias : 38 réponses (76%) 

Vos études / Vos enseignants : 13 réponses (26%) 

Autres :   Mes lectures principalement temps 

La vie en général temps 

Littérature, reportage, podcast, le fait d’échanger aussi 

Des ONG comme Extinction Rébellion 

Le changement climatique actuel ; des écrivains/chercheurs/etc. qui ont pensé la lutte contre le changement climatique et ses causes ; les luttes 

Les prises de paroles de scientifiques 

Les écrits des penseurs et les penseuses (Vandana Shiva, Donna Haraway, Bruno Latour, Hartmut Rosa, Pablo Servigne, Eric Lenoir), les revues (Yggdrasil), les films

Imaginez le monde d'après crise :

50 réponses 

  1. Un monde dans lequel le réchauffement climatique serait fortement limité et réduit grâce à une action à très grande échelle.
  2. Je pense que les choses vont reprendre comme avant, mais j'imagine que la réflexion sur certains sujets s'est et va continuer de se développer chez les gens. Je ne pense qu'on soit prêt à changer, mais on s'en approche.
  3. Une croissance moins grande pour un monde plus durable.
  4. Que les gens arrêtent de préférer la voiture aux transports en commun, qu'ils se responsabilisent, arrêtent de consommer si peu durablement, que les instances s’y mettent pour qu’on soit « forcés » sinon pas assez ne se réveillent et l’acte individuel ne suffit pas,…
  5. Un monde où l'individualisme et l'égoïsme sont rois. un monde traumatisé où les habitudes normales d'avant et les contacts sociaux sont effrayants pour certains… un monde qui fait peur.
  6. Changer. Fou. Triste
  7. Que les gens arrêtent de préférer la voiture aux transports en commun, qu'ils se responsabilisent, arrêtent de consommer si peu durablement, que les instances s’y mettent pour qu’on soit « forcés » sinon pas assez ne se réveillent et l’acte individuel ne suffit pas,…
  8. Je m'imagine un monde où les personnes sont beaucoup plus responsables et ont un plus de respect pour l’environnement. 
  9. Il faudrait une Prise de conscience nationale du bien commun pour arriver à un monde meilleur
  10. Une prise de conscience globale n’est pas recommandée, elle est vitale. Cependant, comment faire prendre conscience à des milliards de personnes que l’on va tous y passer sinon ne fait rien, quand les leaders de ces mêmes milliards de personnes se déplacent en avion pour faire 150 kilomètres ? Vous avez deux heures (ou plutôt dix ans).
  11. C’est un monde où nous sommes de moins en moins solidaire
  12. Un monde où l'environnement prend une place plus importante dans la société.
  13. Un monde une fois la crise sanitaire passée, pour moi, ce serait déjà l'occasion de "régler" les problèmes du passé (comment fait-on pour imaginer le futur sans savoir corrigé les erreurs du passé ?). Par exemple, un référendum sur le sens de la devise et de la constitution française pour les citoyens d'aujourd'hui, mettre enfin en place les lois et mesures qui traînent ou régressent depuis des années, assumer justement les valeurs françaises et rendre la société plus tolérante.
  14. Un retour plus ou moins identique à l’avant covid-19
  15. Un monde dans lequel on réapprend à vivre chaque jour avec soi-même et avec les autres
  16. Malheureusement, on a l'impression que cette crise n'a pas permis une remise en question de notre société
  17. En aucun cas il ne s'agirait d'un "retour à la normale" car il n'y avait rien de normal dans "le monde d'avant". Les mots qui me viennent : changement radical, créativité, innovation, utopie.
  18. Précaire
  19. Sensiblement le même, avec quelques avancées sociales et écologiques
  20. Un monde de merde avec des gens qui fêtent Noël.
  21. Perturbé
  22. La joie de pouvoir enlever les masques et retrouver le sourire des personnes
  23. Écoféminisme, fraternité, redistribution
  24. Un monde plus juste
  25. Un monde qui s'écroule. Il sera peut-être possible de se relever de la crise sanitaire, mais pas de la crise climatique. Je vois mal comment "le monde" pourrait continuer à exister, compte tenu de l'état actuel du climat, qui ne va que s'empirer, et de l'inaction des responsables
  26. Je n'imagine malheureusement pas une fin de crise - et je ne crois pas pertinent ou constructif de développer cette vision ici, dans le cadre de ce questionnaire de la revue.
  27. Pareil comme avant
  28. Je pense que nous y sommes déjà et que peu de choses semblent avoir changé
  29. À peu près le même qu'avant avec plus de catastrophes qui touchent plus de gens, plus de colère, plus de répression.
  30. Chacun aura de nouvelles habitudes et de nouveaux réflexes, notamment sur le plan hygiène et sanitaire. De plus, on sera plus conscient de notre vulnérabilité. Et je pense également qu'on ne sera plus jamais à l'abri complet d'une nouvelle crise sanitaire. Je veux dire par là que l'insouciance que nous avions avant la crise du Covid (il nous était impensable qu'une telle crise survienne, on ne pensait pas cela possible), nous ne pourrons plus jamais l'avoir, nous serons désormais toujours méfiants à ce propos (et tant mieux car d'après les experts, les pandémies vont être de plus en plus fréquentes).
  31. Je ne sais pas s'il y aura un monde d'après crise. Le manque de solidarité actuel ne me semble pas de meilleure augure. Le problème climatique est bien antérieur à la crise du COVID.
  32. Si les pays occidentaux se résolvent à aider les pays les plus pauvres, on a une chance de s'en sortir; sinon on risque de continuer à vivre dans un état pandémique infini, indéfini et inégalitaire qui empêche d'entamer réellement une révolution écologique et sociale. En même temps, si la crise est suffisamment longue, on a peut-être une chance que les pays occidentaux comprennent l'interdépendance globale.  
  33. Je n'imagine pas beaucoup de changement, je ne sais pas si les gens ont réellement pris conscience de l'urgence climatique (preuve : COP 26)
  34. Quelques conséquences de la crise seront maintenues (p.ex. port du masque dans les transports en commun), plus de conscience de nos privilèges (p.ex. voyager plus facilement d'un pays à un autre)
  35. Alors, je partirai certainement dans une utopie (qui, soyons réaliste, ne se réalisera pas, surtout en voyant l'évolution actuelle): J'imagine alors le monde après crise plus solidaire, moins individualiste; un monde dans lequel tout le monde peut trouver sa place; un monde respectueux (car nous aurons appris de nos erreurs) dans lequel l'humain et notre environnement se trouvent au centre de l'intérêt. On a le droit de rêver, hein?!
  36. Un monde où l'état écoute plus l'avis du peuple, surtout en matière d'écologie
  37. Retour immédiat à la vie d’avant crise et avant les confinements, peu de changement par manque d’intérêt des États et des entreprises mais peut-être meilleure prise de conscience des citoyens qui mettent en place des actions quotidiennes et militent?
  38. Plus prudent mais peut-être plus conscient
  39. Plus vert, plus conscient, plus préparé aux crises à venir
  40. Un monde d’entre-aide où chacun se sent à sa place
  41. Comment il sera? j'espère qu'il ne reprendra pas exactement pareil et que quelques bonnes habitudes auront été prises et seront gardées, que la consommation de masse et le gaspillage diminue etc
  42. Les chef.fe.s d'Etat ne vont pas agir à la mesure de l'urgence climatique et sociale. Le fossé entre les riches et les pauvres va continuer de se creuser. La planète ira de plus en plus mal.
  43. Égal à celui d’avant car les changements ne dure pas dans le temps
  44. Plus du COVID et plus de liberté
  45. Sombre, sale, en guerre
  46. J'ai l'impression que rien ne change vraiment même en état d'urgence sanitaire donc j'imagine le même monde qu'avant.
  47. On fera des maisons avec les masques, comme ça existe, on n'aura plus peur du contact humain qui s'est installé.
  48. Traumatisé, moins stabile, éphémère et superficiel, mais beaucoup de gens seront  reconnaissants de pouvoir vivre et sortir sans angoisses,
  49. Assez lointain mais très affaibli

Imaginez votre monde rêvé :

37 réponses 

  1. Une terre verte peuplée d‘animaux en tout genre ou tout ce que nous consommons est auto-suffisant
  2. Un monde avec moins de personnes stressées, plus enthousiastes et où la sécurité serait très forte.
  3. Un monde où la jeunesse serait guidée et réellement suivie le plus tôt possible pour son orientation, la valorisation de ses engagements. Un monde où chacun serait libre de vivre sa vie comme il veut. Un monde où les professions seraient enfin valorisées de façon égale (le salaire énorme des politiques et footballeurs contre le manque de moyens et de salaire du corps médical par exemple).
  4. Un changement vers des valeurs plus écologiques et solidaires
  5. Un monde dans lequel la nature ne serait plus détruite par l'homme, et dans lequel les hommes ne s'entre-exploiteraient pas les uns les autres
  6. Plus solidaire, moins urbain, plus local
  7. Un monde qui laisse de la place au repos du corps et de l'esprit. Un monde qui valorise les activités qui ne "produisent" rien : lire, apprendre, enseigner, méditer. Un monde qui transmet les connaissances de tou.tes, puisque tout a déjà été pensé et dit.
  8. Communautariste, isolé, déconnecté, autarcique
  9. Un monde égalitaire et auto-suffisant
  10. Un monde sans internet, sans électricité ni énergie fossile, sans transports aériens ni routiers, avec des routes dégoudronnées, et des potagers partout. Un retour au Moyen-Âge en quelque sorte. Ça paraît radical mais ça me semble la meilleure solution et la plus pertinente pour vraiment cesser ce grand n'importe quoi qu'est le monde d'aujourd'hui.
  11. C’est un monde où on ne vit pas dans le stress et la rapidité  permanente. Un monde où les gens se respectent et prennent le temps de vivre.
  12. Il faudrait arrêter de penser les performances économiques d'une société en fonction de sa croissance économique et privilégier d'autres critères (empreinte carbone, équité intergénérationnelle, égalité des chances hommes/femmes, etc. et donc cesser de créer plus de richesses mais mieux répartir celles que nous avons déjà.
  13. Un monde juste, où toute personne est traitée de façon égale, égalité femmes hommes, respect et protection de la nature et des animaux, sans capitalisme exploitant, sans guerre etc.
  14. Un monde qui abandonnerait l'idée de développement et qui mettrait l'humain et l'environnement au coeur de ses priorités
  15. Je peine à l'imaginer. Je rêve d'un monde avec quatre saisons chaque année. Un monde où il ne s'agit plus d'expansion mais d'ancrage dans l'ici et le maintenant.
  16. Moins de pollution, moins de conflits, plus de tolérance, plus de soutien
  17. Un monde plus lent, avec davantage de proximité.
  18. Un monde réellement démocratique où les choix sont faits par la population, elle qui lutte contre ses prétendus représentants qui ne font rien pour limiter le changement climatique. Un monde libéré de la finance, des multinationales, du capital, du capitalisme, du marché de l'emploi, de la surproduction, de l'injonction à la rentabilité. Un monde où le travail a du sens par delà sa rémunération pécuniaire.
  19. Un monde qui ne court pas à sa perte..!
  20. Conscience du collectif, solidarité, effacement des frontières
  21. Un monde démocratique, où l'école et les universités apprendraient à être solidaires plutôt que d'être en concurrence les uns avec les autres. Un monde où les professions du care seraient plus valorisés que les professions qui développent des comportement concurrentiels.lus
  22. Un monde qui ne se réchauffe pas, sans discrimination ni guerre
  23. Dans mon monde rêvé, il n'y aura plus de violence et de cruauté envers les animaux. Tout le monde pourra vivre où elle/il veut sans les complications et empêchements entraînés par les titres de séjours / visas. De plus, aucun être humain ne vivra en pauvreté.
  24. Un monde presque sans plastique, avec plus de transports en commun entre les petites villes et les villages et qui écoute la science en matière d'innovations pour l'environnement
  25. J’imagine une réconciliation avec la nature, les animaux. Un retour à des espaces verts, une cohésion entre les différentes formes de vie, mais tout en mettant en place des techniques et technologies durables pour le progrès dans le but de conserver cette cohésion.
  26. Égalité de tous les êtres humains dans le respect des différences. Respect vis à vis de la planète et des autres êtres vivants qui l'habitent. Un monde où l'argent n'a aucune importance
  27. Plus écologique, optimiste,
  28. Un monde où chacun se sent épanoui et n’a pas me soucis financier de gagner sa vie
  29. Je ne sais pas
  30. La planète passerait avant les enjeux financiers et immédiats.
  31. Celui ou le respect serai loi et ou l’écoute serait omniprésente
  32. Une monde sans problèmes écologiques
  33. Moyens de transports partout, disparition de la société de consommation et donc du risque de collapsologie 
  34. Un monde plus égalitaire et solidaire (aides aux personnes précaires). Un monde qui respecte son environnement (moins de déchets partout, plastique).
  35. Une meilleure santé, une meilleure répartition de la nourriture, moins de monde et une prise de conscience et action des grosses entreprises responsables de la pollution atmosphérique. et des bébés chiots qui ne deviendraient jamais adultes!
  36. Un monde sans classes, sans discrimination. Le progrès économique, scientifique etc. bénéficie tous.
  37. Un monde axé sur l’environnement et le respect plutôt que le profit capitaliste